jeudi 19 avril 2012

Plateforme nationale pour une véritable transition démocratique en Algérie

 Salam, Bonjour à tous,

Voila donc un début qui se veut rassembleur mais qu’aussi dit en clair ce que nous tous citoyens aspirants souhaitons de toute notre âme : Un vrai changement pour le meilleur et où tout un chacun, sans exception aura sa place.

Une Algérie enfin libre de rattraper le temps perdu et c’est possible. Lisez attentivement…
Rejoignons en masse ce Mouvement naissant sage qui présage enfin sérénité et vérité sans aucun ambages ni ombrages.

@ Tous mes amis Facebook ou pas, rejoignez-nous aussi vite que possible, pour nous tous, pour notre Algérie chérie ! 




·         Plateforme nationale pour une véritable transition démocratique en Algérie

1 Préambule

Un demi-siècle après l’indépendance, le peuple algérien n’est toujours pas souverain. Il n’est ni libre ni maitre de ses choix et de son destin. L’Algérie traverse une grave crise politique, économique et sociale qui compromet la cohésion de son peuple et menace l’unité de son territoire.

Cette grave crise multidimensionnelle, est la résultante de l'illégitimité du régime qui perdure depuis 1962.

Alors que les peuples de la région se libèrent progressivement du joug de régimes despotiques et corrompus, l'oligarchie militaro-financière, qui constitue le pouvoir réel en Algérie, tente encore une fois de tromper l’opinion nationale et internationale avec de fausses réformes politiques. Au lieu d’engager un véritable dialogue national non exclusif, franc et responsable qui aboutirait à un diagnostic partagé des causes de la crise et à une vision consensuelle de l’avenir du pays, le pouvoir militaire a préféré recourir à des textes de loi qui verrouillent davantage les champs politique, associatif et médiatique et consacrent l’exclusion.

Le peuple algérien aspire à un changement radical et pacifique dans le mode de gouvernement du pays, lui permettant d’accéder à la liberté, la dignité, la justice, la paix et à une vie décente.

Nous, organisations, acteurs politiques et citoyens algériens qui
adhèrent à cette plateforme, exprimons nos vives préoccupations quant à la dégradation de la situation en Algérie et les dangers qui menacent le pays sur plusieurs plans et nous engageons à œuvrer pour soutenir et accompagner le changement qui représente une revendication populaire urgente.

Nous nous rassemblons dès ce jour en tant qu'alternative au régime en place, et en invitant tous les commis de l’Etat partageant les valeurs et principes ci-exposés à nous rejoindre, pour œuvrer à la concrétisation de cette plateforme nationale.

2
Notre diagnostic de la situation

Nous considérons que :

les tragédies et les luttes fratricides endurées par notre peuple depuis son indépendance relèvent principalement de la responsabilité du régime illégitime qui s’est accaparé du pouvoir et s’y est maintenu par la force ;

la nature totalitaire du pouvoir qui a dirigé notre pays depuis son indépendance a été une entrave à la consécration des droits civils et politiques des Algériens ;

le régime montre une faillite dans sa gestion du pays et une incapacité totale à pourvoir aux besoins des citoyens dans les domaines éducatifs, culturels, sociaux et économiques avec ses conséquences graves sur la cohésion nationale et le devenir de l’Algérie ;

la dite charte pour la paix et la réconciliation et les pseudos dites réformes politiques engagées par le pouvoir ne sont pas à même de sortir l’Algérie de la crise.

3
Nos valeurs citoyennes

Nous nous engageons à :

Considérer la proclamation du 1er Novembre 1954 comme un socle pour un cadre national global après soumission à une relecture approfondie et consensuelle qui vise sa réactualisation ;

Respecter la souveraineté populaire : le peuple est la seule et unique source du pouvoir politique et de légitimité ;

Assurer à tous le respect et l’inviolabilité de leur vie, leur dignité et leurs biens, selon nos valeurs civilisationnelles et les valeurs universelles des droits de la personne humaine ;

Respecter notre identité dans sa triple dimension, (islamité, amazighité, arabité) ; Ni le pouvoir politique en place ni l'opposition ni une quelconque institution ne peut s'approprier l'un ou l'autre des fondements de notre identité qui sont indissociables ;

Respecter les libertés individuelles et collectives sans distinction de race, de sexe ou de confession ;

Promouvoir la cohésion nationale et renforcer les liens de solidarité entre tous les citoyens ;

Respecter la démocratie comme moyen de gestion politique et de régulation pacifique ;

Rejeter toute forme de violence dans la gestion des conflits qui traversent la société ;

Reconnaître la prééminence de l’autorité politique librement élue sur toute autre institution, civile, militaire ou religieuse ;

Refuser tout mandat politique à durée illimitée ou renouvelable sans limite et refuser la mainmise de tout service ou pouvoir opaque sur notre pays ;

Assurer l’indépendance absolue de la justice.

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Notre vision du changement

Nous insistons sur le fait que le changement :

doit être radical, consensuel et pacifique;

exige la dissolution de la police politique tout en restructurant les services de renseignements avec une redéfinition de leurs missions au service de la patrie ;

exige une réelle réconciliation nationale fondée, loin de tout esprit de revanche ou de vengeance, sur les devoirs de vérité, de mémoire et de justice ;

nécessite la participation de toutes les volontés qui aspirent à ce changement, et ce, quelles que soient leurs idéologies, leurs tendances politiques ou leurs secteurs d’activité, sans exclusion aucune ;

exige une dynamique politique et sociale qui soit la résultante d’une consultation, d’une coordination et d’une action commune de toutes les bonnes volontés sincères.

5
Notre vision de la transition

Nous croyons sincèrement que l’institution militaire devra accompagner cette dynamique populaire du changement et se positionner comme partenaire de ce processus pacifique en vue de l’instauration d’un véritable Etat de droit. Toutes les parties devront assumer leur responsabilité devant l’Histoire, pour épargner à notre peuple d’autres drames et sacrifices.

Afin de garantir une transition démocratique pacifique en Algérie, nous revendiquons des mesures d’assainissement au sein des institutions de l’Etat.

Les acteurs politiques et citoyens algériens unis pour opérer un changement politique réel et une véritable transition démocratique se constitueront en Conseil du Changement Démocratique (CCD) dont la mission essentielle est de préparer et d’accompagner la transition.

Ce Conseil du Changement démocratique sera ouvert à des personnalités connues pour leur probité, leur sagesse et leur engagement pour le salut du pays.

Le CCD procèdera à la mise en place d'un Gouvernement provisoire de transition, formé de personnalités intègres et compétentes, pour une période ne dépassant 18 mois.

Ce Gouvernement provisoire sera chargé de gérer les affaires courantes et d'organiser l'élection d'une assemblée constituante.

Le Gouvernement provisoire mettra en place une commission indépendante, chargée d'organiser l'élection de l'assemblée constituante, dans un délai de six mois.

Les douze autres mois seront consacrés à la préparation et l'adoption par référendum de la nouvelle constitution.

Il appartiendra au CCD de décider, soit de reconduire le gouvernement provisoire pour six mois, pour organiser l'élection présidentielle ou législatives, en fonction de la nouvelle constitution, soit de désigner un nouveau gouvernement pour cette mission.

Durant cette période de transition démocratique, l’Armée nationale veillera au maintien de l'unité nationale et à la protection de l’intégrité territoriale dans le cadre de ses prérogatives constitutionnelles.

Nous rejetons toute ingérence, de quelque nature que ce soit, de puissances étrangères notamment pendant le processus de changement et de transition démocratique vers un Etat de droit, partant du principe que la crise politique nationale ne peut et ne doit être réglée que par les Algériens eux-mêmes.

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Appel à nos concitoyens

Sur la base de ce qui précède et

Rappelant l’union de notre peuple, dont l’identité a été forgée par l'histoire ;

Réaffirmant notre confiance en la capacité de notre peuple à dépasser la crise qui a trop duré et à construire l’Etat de droit pour lequel des générations de martyrs et de militants se sont sacrifiés ;

Réaffirmant notre certitude que notre peuple n’est pas moins attaché à la liberté et la dignité que les peuples frères de la région ;

Nous appelons nos concitoyens à :

Rejeter cette mascarade de réformes politiques qui n’a pour but que de servir les intérêts illégitimes du pouvoir en place et de préserver ses privilèges mal acquis, notamment en rejetant ses échéances électorales ;

Nous rejoindre pour participer activement à cette démarche alternative qui conduira à un changement véritable.



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Initiative pour un changement démocratique en Algérie

Communiqué de presse

Au lendemain de l'indépendance confisquée, à la suite du coup de force orchestré par le clan d'Oujda, contre le gouvernement provisoire (GPRA), les Algériennes et les Algériens ont été mis sous tutelle, qui allait se révéler aussi inexorable qu'elle était terrifiante.

Une chape de plomb s'est inexorablement abattue sur un peuple qui pansait ses blessures après plus d'un siècle de colonisation.

Il en est né un système de pouvoir occulte, adossé à une façade civile, en perpétuelle mutation, un triomphe du machiavélisme et du cynisme politique, qui lui permettront de neutraliser, de domestiquer et de réprimer toute tentative de remise en cause de l'ordre établi.

Durant un demi-siècle, et à la veille du cinquantenaire du recouvrement de l'indépendance, même si le pouvoir apparent a souvent mué, le système prédateur et corrompu est resté intact. La force continue de supplanter le droit, et les aspirations des Algériennes et des Algériens à une vie digne sont toujours mises entre parenthèses.

La résignation, la fatalité, la morosité, et la déception, faute de projet et de repères, ont enfoncé le pays tout entier dans une fuite éperdue en avant, et l'ont mené à l'impasse !

Comment prétendre être fidèle aux idéaux de Novembre 54 devant l'absence de toute initiative politique appropriée, face à une démission érigée en statu quo, voire à une sorte de consensus rampant, entre des groupes qui ne représentent que des intérêts de clientèles et de parentèles, et qui se drapent d'idéologies trompeuses ?

Nous sommes collectivement responsables de cette situation qui n'a que trop duré. Plus que salutaire, l'urgence d'imaginer un autre futur pour notre Algérie est devenue une question de survie, pour éviter le naufrage programmé de la nation.

Face à cette situation extrêmement préoccupante, de nombreux citoyens impliqués dans la vie publique du pays, des acteurs politiques ainsi que des organisations politiques et de la société civile ont décidé de se rassembler et de s'organiser pour présenter une alternative au régime en place.

Réunis par un même constat de la situation et un socle de valeurs communes, nous avons élaboré une plateforme politique dont les principes essentiels sont : un changement radical du système politique, par des moyens pacifiques, en vue de l'instauration d'un Etat de droit dont l'unité nationale et l'intégrité territoriale seront des fondements inaliénables. La plateforme porte également une vision et des propositions concrètes pour gérer la nécessaire période de transition.

Nous lançons un appel à la mobilisation de tous les citoyen(ne)s conscient(e)s des périls qui menacent notre nation, qui rejettent les pseudo-réformes et la mascarade électorale en cours et qui aspirent à un véritable changement pacifique, loin de toute interférence étrangère.

Nous appelons nos compatriotes à nous retrouver avant la supercherie électorale du 10 mai pour lancer publiquement cette initiative, afin de dépasser la crise et construire un Etat de droit à la hauteur des ambitions et des aspirations du peuple algérien.

Fait le 16 avril 2012

Pour le Comité de préparation : Abbas Aroua, Salah-Eddine Sidhoum
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© Mouvement Rachad - حـــركـــة رشـــاد

mardi 3 avril 2012

Lettre ouverte No1: au citoyen de Jijel


Poste originairement le 17/11/2011 sur l’écho de Jijel :


Lettre ouverte au citoyen de Jijel en général et au citoyen d’El-Aouana (Cavallo) en particulier (1)

Jeudi 17 novembre 2011 
par Noureddine Kias

Le chemin du salut, le vrai sens du vrai débat -1-

Prologue

Mr le citoyen bonjour,
 Il est de ces mystères de la vie qui la démystifient de ses difficultés, jusqu’à en faire le chemin du salut.
 En effet, l’événement de poursuite judiciaire entamée à mon encontre m’a révélé, apparemment à mes dépends j’en conviens mais qu’apparemment seulement, que certaines évidences ont perdu de leur sens premier.
 En effet, si vous aviez à subir une injustice, ou vouliez en réparer une qui parle à votre conscience, naturellement vous faites appel à la justice du pays que vos habiteriez, cela aurait du être l’évidence même.
 Dire que chez nous la justice a beaucoup de peine à s’affermir, serait, chez la majorité de nos concitoyens, un euphémisme. Blasphématoire, ais-je même entendu souvent, parmi les plus excédés d’entre nous.
 La justice chez nous ça marche. J’en fus abasourdi. La preuve. J’en fus abasourdi , j’en suis fort aise.
 Car cela voyez-vous, cela fait renaitre en soi un espoir. Un espoir longtemps soumis à rude épreuve. L’espoir de pouvoir faire bouger les choses dans le bon sens, ensemble. Par le biais de la justice tiens, en y déposant plainte à notre tour, fut-il contre x, pour tous les maux qui rongent, irrémédiablement, notre société à tous les échelons. Et on a du pain sur la planche. Mais difficile n’est pas impossible. On va y arriver. Nous allons en user de ce droit délaissé. Nous allons faire appel à la justice, ensemble.
 Mais comment, m’entendis-je penser. Par le biais de la justice pardi. Elle est tellement plus réactive que les centaines de « lettres ouvertes » que les uns et les autres ont adressé à :
 Mr Le Maire, Mr le président de l’APW, Mr le Député…, Mr le Sénateur… Mr mon élu quoi… Mr le Chef de Daïra, Mr le Wali, Mr le ministre de… Mr le responsable de tel ou tel organisme d’état…Mr le commis de l’état quoi…

A Mr le président de la république.
 Sans que le moindre signe de considération à nos doléances citoyennes, ne puisse éveiller le moindre intérêt de la part de tous ces messieurs/dames, responsables à tous les échelons.
 Nous sommes, nous prétendants citoyens, coresponsables par l’abandon de nos droits. Il est temps de reprendre ce qui nous appartient. Et nous allons nous y mettre de suite.
 Avant d’aller directement au fond du vrai sujet, permettez-moi un petit retour, récemment historique, mais oh combien illustrateur de ce que j’écrivais au sujet de la considération du citoyen de Jijel.
 Il s’agit de l’accaparation illicite d’un site naturel se trouvant, de l’autre coté du site (sic) naturel ayant mis ou mettant Mr Benziada dans l’illégalité, selon moi, et dans mon article incriminé , et qui m’a valu d’être convoqué par la police d’El-Aouana (Cavallo) sur ordre de Mr le procureur de la république.
 Ce site, appartenant à la communauté, a suscité une très vive émotion de la part de la population Jijelliennne et d’ailleurs, qui s’est exprimée de plusieurs manières, sans pour autant que les auteurs du délit en soient pour le moins du monde inquiétés. Plusieurs articles ont été écrits, aussi bien sur les sites de wilaya, sur les réseaux sociaux ainsi que dans la presse nationale. J’y ai participé autant que j’ai pu autant sur place, que par appels à la mobilisation, par le porte-à-porte pour la récolte des signatures pour ceux qui n’ont pas la chance de le faire Online, (Je scannerais bientôt la liste de ce derniers et la mettrais Online aussi bientôt).
 Un dossier bien complet a été remis au Wali de la Wilaya de Jijel, Mr Ali Bedrici et beaucoup plus. Rien n’y fit.
 Pourtant la solution est là m’entendis-je encore une fois designer. La justice ça marche, encore une fois, la preuve.
 Alors comment faire en mettant toutes les chances de notre coté ? Nous allons y réfléchir ensemble. Puisque j’y ai déjà un peu réfléchi, voici en quelque sorte, le schéma brut du « business plan », qui me parait mener à une vraie union autour de nos problèmes et une plateforme d’actions communes.
 En réfléchissant sur le «business plan», l’outil qui a faite ses preuves tout au long du développement, des pays qui nous ont précédés vers la citoyenneté, je suis sorti avec quelques idées et je vous les livre pour la critique en vrac. De la critique en sortira un bien mieux planifié et réfléchi Business Plan.
 Il faut se donner les moyens de l’efficacité, et on va se les donner.

Noureddine Kias

Pétition


Réactions
Jeudi 17 novembre 2011 à 20h40, par  Noureddine Kias
Mr Hamid Bonjour,
C’est une des possibilités, mais si vous voulez mon avis, je penserais plutôt pour la justice. Suivez mes écrits et vous verrez. J’espère vous voir nous rejoindre. Voici la suite de mon article et ce n’est pas fini.
Logo de Hamid
Jeudi 17 novembre 2011 à 10h56, par  Hamid
Si Noureddine, c’est tout à fait normal que le monsieur qui a accaparé le site dépose plainte. C’est du vrai pactole, une bâtisse finie dans cet endroit ça coûte des milliards. Maintenant la meilleure méthode ne sera que celle pratiquée par nos aïeux, faire intervenir la Djemaa j’espère qu’il en existe à Cavallo pour régler ce ou ces "contentieux" à l’amiable, sinon si cette même Djemaa qui fait le reste devant la justice de l’Etat.

Quand Mr le Maire d’El-Aouana (Cavallo), s’exprime


Une introduction à la suite qui ne va pas mâcher ses mots. Un tout petit commentaire sur un site renégat de notre Wilaya de Jijel.

Une dissection au laser de toutes les médiocrités de notre maire d'El-Aouana (Cavallo) et sa meute de larbins bientôt en ligne



Mr le Maire d’El-Aouana (Cavallo), s’exprime

Jeudi 9 juin 2011 à 04:34
Salam,

Mr le Maire d’El-Aouana (Cavallo) s’exprime.

Pour une fois, il aurait été bien inspiré de la fermer. Ça nous aurait épargné de tirer la chasse après lui.


Il y a quelques jours, Lors de la réunion du 29 Mai 2011, décrite ici :

https://www.facebook.com/notes/noureddine-kias/de-la-raison-et-de-la-d%C3%A9raison/213236328710665

Mr notre Maire d’El-Aouana (Cavallo), Mr Moussa Cheraitia, supposé être historien de son état mais qui n’a d’histoire pour le moment, que le désamour total de la majorité écrasante de la population qu’il est censé administrer, et la médiocrité criante qui jaillit de partout où il a à "gérer". Mr Notre Maire donc s’exprimait enfin sur la honte dont il est si coupable de silence. J’ai nommé la tentative honteuse de spoliation du site symbole d’El-Aouana (Cavallo) par certains sans-gênes.

Voici quelques un lien pour vous mettre l’eau en bouche sur l’histoire des sans-gênes.

http://www.jijel.info/node/5457

Ici, vous pouvez toujours et encore assurer le service minimum, comme notre député Mahfoud Oulmane, le seul d’ailleurs de son état d’élu, No 604 sur la liste, Ici :

http://www.petitionenligne.fr/petition/petition-pour-sauver-le-meilleur-site-touristque-de-la-wilaya-de-jijel-devenu-zone-militaire/517

Mr notre Maire qui a été invisible, pire encore, complice pour de silence coupable jusque-là a, à la surprise totale des 15 représentants des «sentis lésés» et l’ont fait voir, s’exprime et pas que.

Mr notre Maire commence bien sur par se disculper en chargeant son prédécesseur sur le fait que c’est « lui » qui a signe un papier autorisant l’armée a s’installer sur le site convoite. Ce dernier, Mr Rachid Benhadidéne il faut le rappeler exerçait ses fonctions par désignation directe. Les années noires quoi.

Donc….. Relativiser toute autorisation de ce type. Mais ici est un espace libre et Mr Rachid Benhadidéne, revenu a sa fonction d’enseignant peut s’exprimer aussi.

Mr le Maire s’est exprimé sur le crime en exécution à 50 mètres de son bureau de Maire, il a entre autres sorti un «Plan» pour «signifier» plan en main. A qui le présente t-il et pour quelle raison ? Vous allez comprendre, suivez mon doigt.

D’abord, Mr le Maire d’El-Aouana, bon réveil. Ensuite, le fameux plan, dont aucun des présents n’en avait à cirer pour ce qu’ils sont venus vous dire au premier chef, vous nous le faites parvenir SVP. C’est ici qu’il faut le faire et non jouer le «grand» en face de gens qui attendent un logement social depuis des lustres et, qui vous faisaient face pour que vous vous en exprimiez dessus. Vous détournez si mal le sujet je dirais, que l’on pourrait vous prendre pour un retardé mental, car c’est à 6 ans Max que beaucoup d’amis experts psychiatres ont jugé votre discours d’ours mal léché et de 3aqlit Beggar.

Si vous avez encore une once d’honneur, exprimez-vous ici. Et montrez-nous tout ce que vous avez à montrer. On relativisera notre opinion sur votre complicité présumée en conséquence. Mais vous en êtes incapables, la suite le prouvera.

Mr le Maire a ensuite fait allégeance à ses maitres en képi, en la présence symbolique des 2 officiers présents à la réunion en déclarant que :

«Ici sont apparus des gens qui dorment le jour et tournent toute la nuit comme des rats». Vous avez suivi mon doigt ?

Mr le Maire continue sur sa lancée, en larbinage, il n’y a pas de limites:

«Ces personnes, sont contre notre armée, institution et patati et patata (enfin je vous épargne la litanie de la suite, vous en avez reçu jusqu'à suffocation je comprends)». 

«Ils ne veulent pas partager». 

«Nous sommes du cote de notre glorieuse armée».

Alors vous avez tous suivi mon doigt ? Les absents ont toujours tort…
Comme si notre armée, la vraie, pas celle qui veut nous écraser de son impertinence et que, justement Mr le Maire croit que, c’est là tout notre armée, et que l’on pouvait passer outre le peuple, frère, sœur, fils ou fille de cette armée dont nous partageons sans aucune sorte d’ambigüité la légitimité. J’ai bien dis la légitimité. Pas la dictature qui ressort du crime organisé sur le territoire de justement encore une fois Mr notre Maire d’El-Aouana (Cavallo), Mr Moussa Cheraitia, l’homme invisible. Mr le Maire qui se permet d’insulter les pauvres gens et qui se fait passer en fantôme quand on le cherche pour une bonne cause. Quelle Roujoula !

Ceci dit, préparez-vous bien vos derniers mois au plus avant atterrissage force, on se prend en main Mr notre Maire d’El-Aouana (Cavallo). 



Noureddine Kias