JIJEL le COMPLOT, la «dote» et l’antidote
Part I
Al-Hamdoulillah…
«Il fut un temps, que les moins de vingt
ans, ne peuvent pas connaitre».
Ce fut un temps. Plus du tout le ton qui
court par tous ces temps,
Quand je commençais à m’interroger
sérieusement, il y a un certain temps,
sur les incongruités qu’au quotidien, sous une forme ou sous une autre, que
je subissais d’agressions et de mes illusions constatant, les chimères que le
quotidien m’en appauvrit la vue et de ma vie voulut désolation.
Pendant un instant, je vous l’assure pour
un instant seulement, m’interrogeant sur les méfaits du devenu très vite très
lassant, me réveillant soudain et de délices m’en enlaçant quand décision fut
prise et de suite m’engageant.
Quotidiennement et sans pouvoir me les expliquer,
des questions et des questions, en un gros tas s’amoncelant. Je me disais que
dans le pire des cas ce ne serait qu’une question de temps. Que tout rentrera
dans l’ordre que tout sera dans les temps. Celui de ma réadaptation nécessaire,
à mon pays natal d’antan.
Force fut de constater que ce n’est pas
qu’une succession, toutefois anodines,
mais fortes de contretemps. Dans mes convictions avérées et du
pragmatisme appris me rétablissant, pour me réveiller du cauchemar, et de santé
redevins resplendissant.
Que cela naturellement suivra son cours
naturel, pas celui-ci, l’autre le réconfortant et, me disais-je doucereusement
me réveillant, de mes illusions oubliées enfouies très profond, la joie de
vivre reprenant et de son pouvoir me réchauffant et me réconfortant.
Jusqu’au jour où, du pire en plus abject,
sans discontinuer mon âme agressant, d’unique alternative désormais s’avérant,
le militantisme pour sa paix s’imposant.
Comment faire que sinon nous rassemblant,
d’aucun de vous hommes et femmes répondant, cultive(e)s qu’expérience aidant et
de probité évidents, concluais-je enthousiasmé et mes jeunes enthousiasmant,
évidemment pensais-je, ne me seraient tout naturellement qu’aidant, tous ces
amis qui comme moi pensais-je, de leur bon sens constatant et de leur
intelligence usant.
Ainsi fut mais ainsi aussi trop cherchant,
finalement d’encore de pragmatisme finnois m’inspirant, occupant le terrain et
avec mes jeunes militant, jusqu'à ces derniers temps, tiens me rappelais-je ce
n’était bien sur que question de temps.
Je crois vous avoir trouvé(e)s et c’est
tellement réconfortant. De vous nommer tous vous épargnant, les uns et les
autres se reconnaissant.
C’est de mauvaise mimique de malfrats et
de mafieux sans vergogne s’identifiant, que les véritables catastrophant projet
et projet, nés dans la tête d’une gente funeste de destructions, c’est
désolant.
Cependant bien cordonnés de projets se
faisant, aussi clair que l’eau de roche et de ruisseaux mais sans vergogne étalant,
dans leurs crimes abjects pataugeant, dans l’infect et dans le gloutonnement
aspirant, enfin dans leurs pratiques d’antan s’inspirant et s’immergeant.
En effet, sous couvert de funestes
projets, fallacieux et à peine «déguisés» en «projets» militaires tellement
attrayants, de prétendus investissements privés aux connivences largement
douteuses et autres tentatives aussi déshonorantes et déshonorant, les unes ainsi
que les autres quant au fond des choses véritable conspiration, un complot,
digne de Machiavel sans l’intelligence en place se mettant, sans vergogne se
prélassant.
Et ce, que dis-je, le crime en plein jour
se faisant, au su et au vu de tous ces ventripotents, prétendus élus à tous les
niveaux de la représentativité supposée être citoyenne, c’est encore désolant.
Communément appelés les alimentaires
(Khobsistes pour les initiés) mais pas seulement, pas seulement mais passons,
sans aucune forme de procès que celui auxquels sur moi essayant, et de pas mal
d’échecs j’en suis convaincu se verront en essuyant, de ces messieurs/dames
pleins de leur opportunisme et l’affichant, mais sentant le vent tournant et
les uns aux autres s’y accrochant, tout à coup, pour raison de vent en tempête
changeant, accélérèrent leur méfaits dévastateurs et de tout voulant s’en
emparant.
Cela, tout cela se passe aux dépends de la
notre Jijelliennne de corniche et sa nature époustouflants, de la notre de
jeunesse l’avenir se bouchant, quant aux touristes sans cesse nous rabâchant,
comment comprendre quand tout horizon pour cela de barrières plantant et sans
cesse renforçant.
Pour être plus précis, ce qui reste de côté
faisant a notre corniche sa réputation, et de montagnes majestueusement
verdoyants et sur tout le littoral amoureusement l’enlaçant, il n’en reste
presque plus que souvenirs nous nous attristant et a petit feu nous enterrant.
Que Néni notre liberté de conscience nous
dictant. Cela ne passera pas de la sorte Messieurs/Dames nous vous l’assurons.
Alors, n’y aurait-il pas de l’honorant apportant solution ?
...
Fin de Part I,
PS : Bientôt Part II en son et en
lumière, pour illustration, enfin en plus parlant.
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