La conscience est l'unique miroir qui ne flatte...ni
ne trompe.
LY
Salam à
tous,
J’étais en
train d’écrire une lettre ouverte à ces messieurs/dames d’Algérie Telecom
quand, pour la troisième fois consécutive en une heure de temps, l’électricité «saute»
et…«réapparait» (comme par miracle, sic) 2 minutes plus tard. Il y fait pourtant
un temps splendide dehors.
Ce manège n’a que trop duré commençais-je à «m’allumer»,
en pensant
- Aux dizaines de Modem ADSL qui sautent de chez
les «privilégiés connectés à l’internet» par ces Messieurs/Dames d’Algérie
Telecom qui logiquement devraient assurer la continuité de la connexion de
leurs clients payeurs d’avance des services qu'ils n'assurent pas ou si peu,
connexion que l'on doit plutôt plus à la providence qu’à l’expertise de la «chose» (j’en aurais certainement à en reparler en détails,
si possible),
-
En pensant aux 4000,00 D.A que chacun d’entre
ces jeunes se verrait contraint de débourser au péril de ses autres priorités
vitales quelquefois, tout cela pensais-je pour, encore une fois, engraisser tous ces messieurs/dames de «Tout Import/Zéro Export» à la Mafioso qui sévit a
tout coin de bourg, de ces importateurs de
contenaires de marchandises-bas-de-gamme
chinetoque.
-
En pensant à ces frigos et autres appareils électroménagers
qui ne manqueront de s’ajouter aux soucis quotidiens du citoyen Lambda et qui,
le moins que l’on puisse dire n’en a eu que plus souvent qu’à son tour,
-
En pensant a…. Et puis, Et puis Y a Frida, qui est
belle comme un soleil, et que moi j’aime Frida… Y aurait pas Free dedans j'aurais renommée Frida.
-
Quand soudain, je revis un moment de bonheur que j’ai
eu a la lecture d’une pas tellement blague que voici ci-après. Je vous
souhaite a tous le même éclat le rire, que j’ai eu un certain jour a la lecture
de cette pas tellement blague, postée par un certain Adeloul et que j’ai
archivée, pour ces moments-là ne puis-je ne pas y penser. Bonne lecture à tous.
Trois
individus de nationalités, américaine, britannique et... Algérienne trouvèrent
la mort suite a un accident grave et se retrouvèrent en Enfer...
Après
quelques semaines, l'Américain désireux de savoir si, enfin, Ben Laden a été
arrêté, sollicite la possibilité de passer un coup de fil vers l'Amérique. Le
diable accepte et lui facture, aussitôt le coup de fil terminé, les trois
minutes à 3 millions de Dollars. L’Américain sort son carnet de chèque et
s'acquitte de sa dette sans sourciller...Le Britannique, à son tour sollicite
la même faveur, afin de s'enquérir de la santé de la Reine Elisabeth...Le
diable accepte et lui facture, aussitôt la conversation achevée, les trois
minutes à 4 millions de dollars que notre ami s'empresse de payer...
Ce fut,
enfin, au tour de l'Algérien. Ce dernier hésitant du fait de la faiblesse de
ses moyens, se décide quand même à demander l'autorisation d'appeler en Algérie
pour avoir des nouvelles du pays, si le pouvoir d'achat est assez bas, si
la Typhoïde et les maladies primaires creusent toujours des victimes, si le
gouvernement est toujours le même, si les routes sont toujours dans un état
catastrophique, si les voleurs gagnent toujours du terrain, si la bureaucratie
étouffe toujours les citoyens, si le chômage est le titre de la jeunesse
perdue, si le logement est aussi un rêve et si et si et si...
La
conversation s'achève enfin au bout de trois heures. L'Algérien osant à peine
regarder le diable, lui demande en bégayant, le prix de la communication.
Le diable
tout serein répond:
- Oh, pour les trois heures ça fait trois Dinars!
- Oh, pour les trois heures ça fait trois Dinars!
Surpris,
l'Algérien :
-
Mais Co..... Co.... Comment ça se fait ?? ;
Et le diable
d’impatiemment répondre, les sourcils en accent circonflexe, lui-même finalement
incrédule, devant misères que l’ébahi de questionneur Algérien, aurait tendance
à endurer sans brancher, justement toute sa vie durant:
-
C’est logique non !, d’enfer à enfer, ça a
toujours été un appel local !
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